Le Festival Anima s’est clôturé hier à Flagey avec la remise des différents prix. Voici le palmarès officiel de l’édition 2020.
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Le jury international est composé de Jonathan Hodgson, Sébastien Laudenbach et Karolina Specht.
Liste des prix internationaux
Grand Prix Anima 2020: Purpleboy, de Alexandre Siqueira
Prix spécial du jury international: Mr. Mare, de Luca Tóth
Meilleur court métrage jeune public: L’Oiseau et la baleine, de Carole Freeman
Liste des prix nationaux
Le prix du meilleur court métrage belge offert par la Sabam: On n’est pas près d’être des super héros, de Lia Bertels.
Le Grand Prix du meilleur film de la Fédération Wallonie-Bruxelles: Saigon sur Marne, de Aude Ha Leplège.
Le prix des auteurs offert par la SACD: Hello, Are We in the Show ? de Simona Denicolai et Ivo Provoost.
Le prix du meilleur court métrage étudiant belge, offert par Amplo: Chabaud pour Tête de linotte !, de Gaspar Chabaud.
Le prix du meilleur court métrage en réalité virtuelle: Songbird de Lucy Greenwell, Michelle & Uri Kranot.
Enfin, voici tous nos coups de cœur des sélections C’est du Belge du festival! On n’est pas près d’être des super héros, de Lia Bertels et Saigon sur Marne, de Aude Ha Leplège en font bien entendu partie mais d’autres petites pépites méritent également d’être visionnées et diffusées dans d’autres festivals.
Dans des styles complètement différents mais malgré tout porteurs de critiques sociétales fortes, nous citerons également #21xoxo, de Sine et Imge Ozbilge, ainsi que Machini, de Frank Mukunday avec des dessins de Tétshim.
Pour son esthétisme digne de Métal Hurlant et son ancrage purement science-fiction qui rappelle Lovecraft et ses monde imaginaires, Limbo Fungos, d’Alexis Ménard.
Au large, de Mathilde Pepintster, nous a également plu pour ses transitions ultra dynamiques et l’originalité de son histoire. Un travail de fin d’études qui rivalise avec de nombreux films professionnels.
Enfin, le court métrage qui fut probablement mon coup de cœur du festival pour son ambiance sombre et son histoire déjantée est Ghost Eye, de Wouter Sel et Thijs De Cloedt. Ce film m’a rappelé les ambiances des polars noirs des années 90 comme Dick Tracy ou encore celle du jeu vidéo Max Payne.
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