Mes adieux allemands à KISS au Lanxess Arena de Cologne. Un seul mot me vient à la bouche : merci, mille fois merci !

KISS a entamé le décompte final, celui des 50 derniers shows de sa tournée d’adieu The End of The Road World Tour. Malgré le fait que je les ai déjà vu six fois sur cette dernière tournée, je ne pouvais pas laisser passer l’occasion de voir un des groupes majeurs de ma vie une dernière fois sur scène en Europe. Direction donc Cologne, la Lanxess Arena et ses 22.000 fans du Bisou.
KISS (c) Jean-Pierre Vanderlinden
KISS, le final, le dernier show pour moi cette fois.
Petite larme écrasée, gorge nouée, émotion à son comble, c’est la fin d’une magnifique histoire live de plus de cinquante ans.
KISS (c) Jean-Pierre Vanderlinden
Merci à Gene, Paul et les autres pour tout ce plaisir, toutes ces émotions, toute cette générosité.
Merci d’avoir été au top jusqu’au bout, d’avoir créé tous ces hits et ce concept unique et génial qui vous survivront.
KISS (c) Jean-Pierre Vanderlinden
Merci pour tous ces shows exceptionnels qui ont fait briller les yeux de quatre générations, et merci pour le respect immense que vous avez toujours eu pour vos fans.
Bonne route, belle vie, il reste des albums formidables, des live prestigieux et tous ces magnifiques souvenirs.
Peut être nous croiserons nous encore sur vos projets solos ou sur l’un ou l’autre concert ponctuel que vous donnerez ça et là. Qui sait?
KISS (c) Jean-Pierre Vanderlinden

Ce soir je suis triste et heureux à la fois. Triste que ça s’arrête, mais heureux que vous arêtiez au top car le mythe restera, ça c’est sûr.

KISS (c) Jean-Pierre Vanderlinden
Rock n’ Roll All Nite and Party Everyday !
Ce soir une fois encore, le concert fut colossal et le son excellent.
J’ai vu des gosses émerveillés, des sourires énormes, des gorges déployées, du bonheur non feint, à l’image de ce colosse allemand à la poigne impressionnante qui lors de la sortie de la salle, on ne sait pourquoi, m’agrippe par l’épaule et me donne une accolade impressionnante et surprenante en riant avec ses potes et en me baragouinant un truc incompréhensible en allemand. Je ne perd pas mon sang froid, lui parle en anglais, lui dit qu’on vient de Belgique et lui demande d’où lui il vient. Il me répond un nom de ville inconnu pour moi et je lui lance :  » great concert my friend ! » L’étreinte se relâche (ouf!), il rigole, me montre un pouce et je lui donne une tape sur l’épaule. Visiblement il était bien imbibé, mais c’est ça aussi la KISS Army, des fans parfois hauts en couleurs et exubérants mais toujours sympas et passionnés.
KISS (c) Jean-Pierre Vanderlinden
Bravo aussi à l’organisation parfaite, aux spectateurs dont la discipline et la propreté sont légendaires (aucun gobelet au sol, ici on ramasse ce qui tombe et on range dans des bacs qui jonchent le sol), à l’organisation des parkings (un forfait de 6,50€ payable à l’avance pour la soirée ) et au fair-play des conducteurs allemands qui appliquent parfaitement « la tirette », du coup on était sorti en moins de 20 minutes.
KISS (c) Jean-Pierre Vanderlinden
Merci aussi à la KISS Army allemande et à tous les fans venus de partout pour avoir fait de ce show un moment inoubliable à l’ambiance magistrale. Comme il l’a expliqué ce soir, Paul Stanley était un peu chez lui ici à Cologne, la ville où sa mère est née et qu’elle a dû fuir lors de l’Allemagne nazie.
KISS (c) Jean-Pierre Vanderlinden
Merci encore à KISS d’avoir proposé une setlist agencée différemment ce soir, et pour ces versions de Cold Gin, War Machine et I Love It Loud dantesques bien au dessus de celles entendues auparavant.
Cette fois c’est bien The End of The Road, mais pour moi comme pour des hordes de fans, KISS ne mourra jamais !
Merci messieurs, mille fois merci .
Jean-Pierre Vanderlinden 

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