Delacourt nous offre un instant hors du temps avec « La femme qui ne vieillissait pas »

S’offrir un livre de Grégoire Delacourt, ce n’est pas une promesse, c’est une certitude. La certitude de la qualité de l’écriture, de la délicatesse des sentiments, de vivre une histoire « extraordinairement ordinaire », de sourire, de pleurer parfois, d’être intense et riche.

Ce qui est arrivé à Betty est le rêve de toutes les femmes. Et pourtant …

Martine est née en 1953. Jeune adulte, elle se choisit le prénom de Betty, plus adapté à sa personnalité. Betty grandit, fait des rencontres et puis croise la vie d’André. Deux vies qui vont fusionner, deux vies qui vont s’aimer.

Pour le reste, il vous faudra lire, découvrir ce dernier ouvrage de Grégoire Delacourt. Il est rare, chez un auteur, d’observer une constance de qualité, tant dans l’écriture (toujours aussi délicate, vraie, sans superficialité) que dans la narration. C’est, comme toujours avec Delacourt, l’histoire d’une femme, une femme comme toutes les autres. Une histoire touchante, jolie, vécue au travers d’un regard bienveillant, d’une douceur qui sonne comme l’odeur réconfortante de sa maman quand on est souffrant.

On devrait pouvoir redécouvrir les Delacourt pour sans cesse renouveler le bonheur pur de ces instants de lecture.

Il faut absolument lire « La femme qui ne vieillissait pas », parce que c’est beau, parce que c’est tendre, parce que c’est un roman dont on sort heureux. Si le 5/5 a une raison d’être, c’est pour les Grégoire Delacourt.

Titre : La femme qui ne vieillissait pas

Auteur : Grégoire Delacourt

Éditeur : JC Lattès

Nbre de pages : 245 pages

Prix : 18€

Date de sortie : le 28/02/2018

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